Avis des élèves :

Je suis allé à l’opéra vendredi 15 novembre, métro Hôtel de ville, de 19h30 jusqu’a 20h45 avec 4 autres élèves de Melec pour voir l œuvre de Maurice Ravel : « L’enfant et les sortilèges ». L’histoire nous parle d’un enfant qui refuse de faire ses devoirs et qui refuse d’obéir à sa mère donc, il se fait punir. Pour passer sa colère, il s’en prend aux animaux et aux différents objets qu’il voit sur son passage. Pour le punir, les animaux qui brusquement prennent vie (une grenouille et un écureuil…) et différents objets comme une bougie, une horloge, des arbres, etc. décident de lui faire peur. C’est plus une histoire destinée aux enfants comme l’a fait la librettiste Colette pour sa fille quand elle a écrit cette histoire.

Cette sortie n’était pas désagréable, mais ce n’était pas trop mon délire, car c’était difficile de comprendre les chants, et il fallait tout le temps lire les sous-titres.

H

L’enfant et les sortilèges de Maurice Ravel

Avec les quelques élèves de la classe de Melec et la classe d’MLDS nous sommes partis à l’Opéra qui se trouve en face de l’Hôtel de Ville de Lyon voir l’œuvre écrite par Maurice Ravel qui s’intitule : « l’enfant et les sortilèges » L’opéra a commencé a 19h30 et s’est terminé à 20h15 .L’opéra parle d’un enfant qui faisait des bêtises, et qui ne faisait pas ses devoirs, nous avons suivi toute l’œuvre au premier balcon numéro pair. J’ai bien aimé le spectacle, les mises en scène pour les lumières et l’utilisation de la vidéo, la musique et le rythme, la décoration. Par contre, j’ai moins aimé le chant, car je ne comprenais pas les paroles. Mais j’ai bien aimé le lieu, car c’était la première fois que je rentrais dans un véritable Opéra. Le style architectural de l’opéra de Lyon est dû à l’architecte Jean Nouvel. Il m’a beaucoup plu, je recommande aux autres lycéens d’Alfred de Musset d’y aller au moins une fois pour voir.

A

OPÉRA

J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d’enfants, mais aussi de nombreux adultes non habitués ou nostalgiques de souvenirs musicaux de leur enfance. La variété de la musique, la poésie d'un français à la fois simple et fantaisiste, les animations vidéos nous ont fait rêver toute la durée de la représentation (environ une heure). Mettre l'orchestre sur scène était une bonne idée, car on a pu voir l'envers du décor. Les jeux de lumière étaient fascinants. De jeunes chanteurs se partageaient les rôles en alternance, tout en respectant les profils de personnages souhaités par Maurice Ravel. L'enfant était chanté par une mezzo-soprano dont la voix claire, aux aigus doux et aux graves stables, donnait à entendre aussi bien la colère capricieuse et les bouderies. L'autre mezzo-soprano incarnait la Chouette, et un chat que l’on pouvait distinguer par jeu de transparence sur les rideaux de la scène. Les sous-titres proposés étaient là pour comprendre les paroles chantées ce qui permettait de profiter pleinement de toute la poésie visuelle et sonore de ce joli spectacle.

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